Les dépenses imprévues : écritures comptables

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Mise à jour le 22 janv. 2025 | Référence : 6219

L'essentiel par l'éditeur

Les dépenses imprévues permettent aux collectivités de gérer des urgences budgétaires sans affecter l'équilibre financier. Selon le référentiel M57, elles nécessitent une autorisation d'engagement ou de programme, et ne doivent pas dépasser 2 % des dépenses réelles. L'ordonnateur doit justifier leur utilisation auprès du comptable public et du conseil. Ces crédits ne doivent pas compenser un manque de fonds dû à un arbitrage défavorable.

  • Comment les collectivités peuvent-elles utiliser les crédits pour dépenses imprévues ?
  • Quelles sont les limites légales pour les dépenses imprévues selon le référentiel M57 ?
  • Pourquoi l'ordonnateur doit-il justifier l'utilisation des dépenses imprévues ?
1.

De quoi parle-t-on ?

Les crédits inscrits en compte de dépenses imprévues forment une enveloppe de crédits que l’assemblée délibérante laisse à la disposition de l’ordonnateur en plus de ses pouvoirs budgétaires propres, afin qu’il puisse abonder des comptes budgétaires insuffisamment dotés.

Le référentiel budgétaire et comptable M57 prévoit que les dépenses imprévues doivent prendre la forme du vote d’une autorisation d’engagement – pour les dépenses imprévues de fonctionnement – ou d’une autorisation de programme – pour les dépenses imprévues d’investissement.

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