Fichepratique

Rapport Piveteau et qualité

Picto abonnement

Réservé aux abonnés | Essayer gratuitement

Référence : 14020

L'essentiel par l'éditeur

Le rapport Piveteau identifie quatre difficultés majeures dans les structures médico-sociales : manque de dynamisme, organisations inadaptées, méthodes dépassées et moyens insuffisants. Il propose des améliorations telles que la participation active des personnes accompagnées, la revalorisation des métiers sociaux, et un plan de formation adapté. Le rapport insiste sur la nécessité de financements adéquats et d'une gestion territoriale pour améliorer la qualité de l'accompagnement.

  • Quelles sont les principales difficultés des structures médico-sociales selon le rapport Piveteau ?
  • Comment le rapport Piveteau propose-t-il d'améliorer la qualité de l'accompagnement ?
  • Pourquoi est-il important de revaloriser les métiers du travail social selon le rapport Piveteau ?

Le choix assumé par Denis Piveteau dans son rapport consiste à mettre en avant le pouvoir d’agir du citoyen, personne concernée par les services sociaux et médico-sociaux, et proposer des pistes de solution durables pour améliorer les prestations et les relations entre lui et les professionnels dans l’élaboration de son parcours de vie.

Il s’agit pour lui d’engager une véritable transformation dans notre approche des choix de société en favorisant une inclusion globale et non la seule mise en place de dispositifs souvent partiels et peu adaptés sur le long terme.

Cette fiche n’aborde pas les propositions de politique des revenus des professionnels comme l’évolution de leur cursus, car cela renvoie à des arbitrages en cours au niveau national.

Remarque importante : même si le rapport concerne en priorité les personnes en situation de handicap il s’adresse en fin de compte à toutes les personnes accompagnées.

Un préalable fondamental : Dans son rapport Denis Piveteau pose un préalable : « Le “parcours de vie” n’est pas une trajectoire tracée a priori, mais plutôt une nouvelle manière de travailler, dans laquelle chaque professionnel, pris individuellement, et aussi chaque collectif de travail, doit non seulement “bien faire les choses”, mais aussi “faire les bonnes choses”, au bon moment. Ce qui appelle anticipation, connaissance de l’environnement, repérage attentif de tous les signaux et transmission, aux autres acteurs du “parcours”, des informations dont ils ont besoin ».

1.

Les 4 difficultés majeures identifiées dans le rapport

1. Des structures manquant de dynamique

En effet les structures ont du mal à s’adapter aux nouveaux enjeux et à introduire de la souplesse dans leur fonctionnement

2. Des organisations souvent inadaptées

Qui ne prennent pas assez en compte les changements et les contraintes actuelles

3. Des méthodes d’intervention dépassées

Car elles ne mettent pas assez l’accent sur le pouvoir d’agir des personnes accompagnées

4. Des moyens insuffisants

Sur ce point tous les travaux d’analyse depuis plusieurs années insistent sur le manque de moyens humains et matériels pour assurer un accompagnement dans de bonnes conditions.

Extrait du rapport : Les financeurs sous-estiment les moyens requis

« Ainsi, le respect des choix individuels d’activités, de repas, de coucher ou de sortie suppose, lorsqu’u...

Picto abonnement

Contenu réservé aux abonnés

Si vous êtes abonné, cliquez pour poursuivre la lecture

Il vous reste 82% à découvrir

Poursuivez la lecture
en profitant d'un essai gratuit (offre sans engagement)

visuel interception
  • Accédez à une base complète de fiches pratiques et d’outils & méthode
  • Bénéficiez d’un ensemble de solutions méthodologiques opérationnelles et juridiques qui répondent à vos problématiques métiers
Essayer gratuitement

Cette fiche est incluse dans l'offre :
Évaluation et qualité

OSZAR »